– Avez-vous l’impression de ne pas avoir le corps que vous voulez ?
– Votre corps manifeste-t-il des changements ou des symptômes sans raison apparente ?
– Avez-vous traversé ou traversez-vous actuellement une période qui vous affecte (surmenage, séparation, divorce, deuil, difficulté à trouver un sens à votre vie, etc.) ?
– Avez-vous le sentiment qu’une étape de votre vie se répète et vous entrave ?
– Avez-vous de la peine à vous voir nu-e ou à vous montrer nu-e en présence de votre conjoint-e ?
– Avez-vous été victime d’un traumatisme, de violence physique, psychique ou sexuelle (abus, attouchement, inceste) ?
– Pressentez-vous qu’une situation douloureuse ne vous appartient pas ?
– Aspirez-vous à une vie épanouie qui allie vos diverses identités (femme – épouse – amante – maman ou homme virile – homme sensible – époux – papa) sans réussir avec satisfaction ?
Si vous avez répondu par l’affirmative à une ou plusieurs des questions ci-dessus, la photothérapie peut vous aider en abordant les thématiques suivantes :
– Les problématiques liées au corps et au manque d’estime de soi
– Le surpoids, le sous-poids
– Les troubles alimentaires
– La dépendance (affective, substances, sexe)
– Les difficultés relationnelles et/ou amoureuses
– La violence psychique et/ou physique
– La violence sexuelle (abu, attouchement, inceste)
– Les mémoires traumatiques
– La dépression / le burn-out
– Les troubles de la sexualité
– Les schémas récurrents qui vous rendent malheureux-se dont vous n’arrivez pas à vous défaire.
– Les problématiques transgénérationnelles
A la naissance, nous recevons tous un sac à dos qui nous colle à la peau toute notre existence. Il nous est offert avec des réserves plus ou moins garnies dans lesquelles nous puisons pour vivre. Nous ne prêtons guère attention à ce sac dans un premier temps tant il fait partie intégrante de notre être. Au fil des expériences et des années, nous déposons à l’intérieur volontairement ou non tout ce que nous recevons. S’il n’est pas régulièrement vidé de son contenu indésirable, entretenu et réparé, arrive le moment où il commence à se faire sentir, à peser. Il s’use avec le temps, se fêle, moisit. Il tiraille les épaules, le dos puis finit par torturer.
Votre corps fonctionne exactement selon le même principe. Toutes les expériences vécues remplissent votre bagage. Vous avez besoin de faire sortir régulièrement vos émotions lourdes et douloureuses pour alléger votre sac. (Jeter vos déchets, rendre aux autres leurs affaires.) Cependant, lorsqu’une situation réveille des émotions trop intenses pour pouvoir être pleinement extériorisées, l’excédent reste dans votre sac à dos. (Dans l’urgence de trouver un endroit où passer la nuit car l’orage menace, vous ne pensez pas à vider votre sac et à faire place neuve pour le lendemain.) Sauf si le surplus est d’une violence inouïe, (Dans ce cas-ci, le sac à dos se brise et tout se déverse.) ce dernier ne vous empêche généralement pas de poursuivre votre route. Souvent, il ne représente qu’un élément supplémentaire au contenu déjà présent. Votre sac à dos quant à lui continue d’accumuler. En cours de route, il vous envoie quelques signaux pour vous prévenir de son usure : une sangle casse, une déchirure apparaît. Dans votre corps, cela se manifeste, par exemple par une blessure, une petite maladie, une réaction cutanée, un conflit, une sensation de tiraillement, des douleurs intestinales. Vous n’y accordez généralement pas l’attention nécessaire et n’y jetez qu’un rapide coup d’œil distrait en pensant qu’il (le sac comme le corps) peut continuer à assurer sa fonction. Ces petits dégâts surgissent d’ailleurs parfois au moment où vous avez justement d’autres préoccupations. Arrivé au comble de sa capacité, votre sac à dos réagit en vous montrant de véritables signes d’usure flagrants qu’il ne vous est plus possible d’ignorer. Dans votre corps se développent alors des symptômes comme ceux-ci : fatigue excessive, douleurs, prise/perte de poids, troubles du sommeil, difficultés relationnelles dans votre couple, état dépressif, etc.
C’est le moyen du corps de signaler un contenu empoisonnant à travers le symptôme qu’il manifeste. Il y a une odeur nauséabonde qui se dégage de votre sac. Il vous permet d’y être attentif-ve et donc de l’identifier. (Vous fouillez son contenu et découvrez tout au fond des peaux de bananes pourries qui datent d’il y a très longtemps.) Une fois la cause du dégât décelée, il vous est possible de remonter à son origine. (Vous avez pris les détritus de votre famille dans votre sac parce que vous avez voulu leur rendre service. Une fois de retour à la maison, trop pressé de retourner au boulot, vous avez oublié de mettre les déchets à la poubelle.) Vous êtes dès lors en mesure de vider votre sac. Au sens propre comme au figuré. Vous vous libérez. Lorsque le message du corps est passé, compris et accepté, que le nécessaire a été fait, le symptôme (l’odeur nauséabonde ou la maladie, par exemple) disparaît. Vous avez trouvé les déchets, les avez jetés, avez lavé votre sac et l’avez remis en état. Vous êtes alors en mesure de poursuivre dans des conditions qui vous permettent non seulement de poursuivre le voyage mais surtout d’apprécier le chemin.
Dans ce voyage qui est le vôtre, je vous accompagne en tant que thérapeute dans cette quête d’identification et de compréhension de votre mal-être en vous offrant un climat sécurisant, bienveillant et non-jugeant pour vous permettre de vous libérer. J’utilise la photo de votre visage, de votre corps comme support. Tout part de vous.
Les origines sont souvent plus insidieuses mais tout aussi délétères :
– Vous avez entendu ce genre de phrases : « Mais arrête de pleurer ! » ou « Tu ne vas pas en faire un drame. » ou encore « Arrête ton cinéma! »
– La souffrance n’a pas pu être exprimée sur le moment à cause d’un contexte inadéquat tel que : « Je suis au travail, je ne peux pas m’autoriser à montrer mes larmes. » ou une situation de stress qui vous a empêché de vivre l’émotion et vous n’avez pas pensé ou vous n’avez pas eu l’occasion de prendre le temps de l’extérioriser plus tard dans un contexte sécurisant (chez vous, avec un proche).
– La souffrance vécue a été trop violente et votre cerveau a déplacé une partie du trauma dans votre inconscient pour vous permettre de traverser la situation malgré tout. Ce mécanisme qui opère seul dans votre inconscient vous coupe d’un surplus émotionnel pour vous protéger. Il est absolument nécessaire car de lui dépend votre survie psychique et émotionnelle. Cet excès quant à lui se cristallise dans la matière en s’ancrant dans votre corps.
C’est là que la photothérapie prend tout son sens. Elle a été inventée par Judy Weiser, thérapeute américaine de renom.
Dans ma mallette se côtoient plusieurs outils et approches complémentaires appris et développés, au fil des ans, qui me permettent de vous accompagner de façon globale. Je me suis formée en :
– Communication non-violente (selon Marshall Rosenberg)
– Psychogénéalogie (selon Anne Ancelin Schützenberger)
– Décodage biologique (selon Christian Flèche)
– Actes thérapeutiques psychomagiques (selon Alejandro Jodorowsky) : acte thérapeutique qui s’adresse à l’inconscient par la symbolique qu’il porte.
– Médiumnité (Cette dernière faculté s’est réveillée chez moi suite à un traumatisme. Si vous souhaitez en savoir davantage, vous pouvez découvrir qui je suis et comment je l’utilise.)
Il est possible d’aborder sous un angle moins thérapeutique votre rapport au corps et à votre image grâce à une séance « immersion photo ».
Il s’agit d’une thérapie brève à court voire moyen terme. Il faut compter entre 4 et 10 séances pour effectuer un travail en profondeur en fonction de la situation.
Les séances s’espacent de 2 à 3 semaines pour vous permettre de laisser poser et d’intégrer ce que vous vivez entre deux rendez-vous.
Une séance dure 50 à 60 min et coûte 120.-
Elle n’est pas remboursée par les assurances complémentaires.
Un rendez-vous peut être annulé sans frais s’il est annoncé 48h avant. Passé ce délai, le montant est dû et la totalité est à régler par twint sur mon numéro professionnel.
A mon espace thérapeutique à Sembrancher, route du Grand-Saint-Bernard 3.